III Son application dans la vie active


III A.    Le travail





En premier lieu selon le Figaro, aux employeurs ayant conscience que les performances des salariés passent aussi par leur bien-être. Or, il se trouve que 61 % des Français perçoivent leur travail comme fortement stressant et que 50 % de l’absentéisme découle du stress au travail. 

Aucun pays moderne n’y échappe. Et surtout pas la France, championne toutes catégories de la consommation d’antidépresseurs et de tranquillisants. Notre pays entretient une relation ambiguë avec le stress. Quand la Suède l’a reconnu comme maladie professionnelle et que de nombreuses multinationales étrangères en tiennent compte pour éviter à leurs cadres le burn out, ce fameux syndrome d’épuisement professionnel, la France n’aborde guère le sujet autrement qu’autour de la machine à café. Ce mal reste tabou. Notre étude révèle clairement que la réponse française à cette véritable épidémie n’est pas la bonne. Elle stigmatise notre incapacité à envisager le travail comme un facteur d’épanouissement. Le stress touche presque un Français sur deux (44 %) et en menace 18 %, compromettant leur santé. 







Les femmes sont les premières victimes : 26 % sont à des niveaux de stress très élevés. « 2,5 fois plus de femmes que d’hommes sont concernées par des niveaux de stress dangereux pour leur santé », analyse le psychiatre Patrick Légeron*. Les raisons en sont multiples. Le stress des femmes s’arrête rarement à la sortie du bureau ; elles présentent souvent des réactions plus fortes aux facteurs psychologiques du stress. Malgré tout, leur capacité à résister peut s’avérer tout à fait surprenante. L’inégalité face au stress ne s’arrête pas là. 
Selon les catégories professionnelles, le taux le plus important de personnes stressées se retrouve au sein des employés et du personnel d’entreprises de services (47 %), talonnés par les professions libérales et les cadres (46 %). C’est néanmoins chez les artisans, les commerçants et les chefs d’entreprise que se concentre le plus grand nombre de personnes menacées par des taux de stress dangereux pour leur santé.
Le stress peu néanmoins être positif  tel qu’une une majorité des cadres sont peu nombreux à atteindre des niveaux pathologiques : seulement 11 %, alors que la moyenne nationale est de 18 %. Meilleure capacité de résistance, personnalité réagissant positivement à la pression et aux challenges, ces facteurs jouent. 





         


Par exemple prenons le cas de France Telecom qui a conne un très grand taux de suicide de la part de ces salariés .Ce suicide porte à six le nombre de salariés de France Télécom décédés de cette façon depuis le début de l'année  2010. La vague importante de suicides déplorés en 2009, et directement imputés à leurs conditions de travail, ont conduit en octobre dernier Xavier Darcos à engager les entreprises de plus de 1.000 salariés à mettre en place des plans d'actions pour lutter contre le stress au travail. regarder la vidéo ci dessous 






             






C’est pour cela que certaines grands entreprises multinationales ont aménagés leurs bureaux afin de limiter se stress tel que Microsoft de Issy les moulineaux : Regarder la vidéo ci dessous 







                           

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